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JHIN

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fashionmicmac-jhin kimono

 

 

 

 

Cette petite boutique parisienne regorge de merveilleux tissus japonais, traditionnels et modernes, et propose également des produits finis : écharpes et snoods, sacs, pochettes et vêtements dont des kimonos anciens.

 

 

 

fashionmicmac-jhin imprimés

 

Vendus au mètre ou en petits coupons pour patchwork, ce sont de nombreuses cotonnades imprimées de fleurs, d’animaux, de personnages ou de motifs géométriques, mais aussi des crêpes polyester, des tissus indigo teints à la main, du denim noir ou bleu marine, des tissus matelassés, des tissus d’ameublement ainsi que des panneaux décoratifs. 

fashionmicmac-jhin indigos

 

 

 

 

 fashionmicmac-jhin patron

 

 

 

 

Sans oublier quelques patrons (réservés au personnes qui savent coudre car, même si l’explication du montage est bien illustrée, elle est en japonais). Particulièrement irrésistibles, les ensembles veste kimono/bloomer ou short qui font de ravissants pyjamas d’été pour les petits.

 

La plupart des tissus sont en 110 cm de large.

La coupe minimum est de 30 cm en boutique, 50 cm sur l’e-shop.

15, rue Ferdinand Duval, 75004 Paris

Fermée le dimanche

www.jhinparis.com

 

Kimonos d’apparat

fashionmicmac-Kunihiko Moriguchi UNE

fashionmicmac-Kunihiko Moriguchi Affiche

 

 

Vite, vite, allez admirez un ensemble de splendides kimonos, mais plus encore découvrir le talent et le travail de leur créateur, peintre de kimonos élevé au rang de « Trésor national vivant » au Japon.

 

Les 26 kimonos exposés, tous présentés de dos, sont des œuvres uniques qui illustrent 50 ans de création, depuis le premier réalisé en 1967 jusqu’à celui conçu spécialement pour cette rétrospective.

 

 

fashionmicmac-Kunihiko Moriguchi kimono vertTout commence par la recherche d’un motif graphique et abstrait, basé sur un agencement de formes géométriques et l’équilibre d’un jeu d’ombres et de lumières. Vient ensuite la mise au point de l’idée, très précisément dessinée sur un modèle réduit de kimono vu de dos. Puis la peinture à la main sur de longs métrages de soie blanche qui seront finalement assemblés de telle façon que les motifs  se raccordent parfaitement.

Il faut prendre le temps de regarder le reportage filmé dans l’atelier de Kunihiko Moriguchi pour comprendre la technique traditionnelle de teinture yûzen qui associe un travail de réserve avec une pâte caoutchouc à de la peinture appliquée à la brosse. Et où l’on découvre que les motifs mouchetés, caractéristiques des œuvres de cet artiste, sont obtenus en saupoudrant des grains de pâte de riz sur le tissu avant d’y appliquer la couleur !fashionmicmac-Kunihiko Moriguchi kimonos

Kunihiko Moriguchi, Vers un ordre caché

Maison de la culture du Japon à Paris, 101 bis, quai Branly, 75015 Paris.

Jusqu’au 17 décembre 2016, de 12 h à 20 h, fermé dimanche et lundi.

www.mcjp.fr

 

Kimonos d’exception

fashionmicmac-maison culture Japon

fashionmicmac-kimono affiche

 

 

Cette exposition est une promenade enchantée dans un univers de perfection et de sérénité. Courez admirer cette trentaine de splendides kimonos qui nous transportent immédiatement bien, bien loin de l’agitation parisienne !

Fukumi Shimura est absolument fascinée par la beauté de la nature, et en particulier par l’immense palette de coloris qu’elle offre. A tel point que depuis plus de cinquante ans, elle consacre son existence et son travail à la recherche d’une coexistence harmonieuse avec cette nature, respectant même le cycle des saisons et le calendrier lunaire.

fashionmicmac-teintures

 

 

Dans son atelier situé près de Kyôto, elle teint elle-même les fils produits par ses vers à soie à l’aide de différents végétaux qu’elle a cueillis, cherchant sans cesse « la bonne couleur ».

 

 

Avec une minutie et une précision extrêmes, elle tisse ensuite le plus fin des fils de soie, le pongé. Les motifs sont simples, géométriques, délimités par des lignes à l’absolue précision ou par de légers dégradés obtenus avec la technique de l’ikat. Et lorsque Fukumi Shimura tisse un tissu, elle a à l’esprit un paysage qui l’a émue et choisi ses différents fils dans le but d’exprimer au mieux son ressenti.

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Ainsi, ses œuvres portent des noms aussi poétiques qu’évocateurs : Vent dans la plaine, Lac sous la lune, Neige mouchetée… De fait, on s’assoit pour contempler l’un de ses tissages comme on le ferait devant un beau paysage.  

TISSER LES COULEURS. Kimonos d’un trésor national vivant

Maison de la culture du Japon à Paris, 101bis, quai Branly, 75015 Paris.

Jusqu’au 17 janvier 2015, de 12 h à 19 h, fermé dimanche et lundi.

www.mcjp.fr/